Publié dans Editorial

Le bout du tunnel !

Publié le mercredi, 24 janvier 2024


« Ankohonana Miarina ! » Une lueur d’espoir pour les uns. Une sortie de la pauvreté pour les autres. En tout et pour tout, vers le bout du tunnel !
Le Gouvernement, avec le soutien effectif des fidèles partenaires de la Grande île, lance le Projet « Ankohonana Miarina ». Un projet qui se veut être efficace et pérenne dans la lutte contre la pauvreté voire la misère.  
Concrètement,  il s’agit d’un projet présidentiel auquel Rajoelina, en personne, tient à cœur pour sa réalisation et dont l’objectif ultime consiste à sortir, pour de bon, le peuple en grande partie dominé par des familles vulnérables, du tunnel de la misère. Ce long « tunnel », sans fin dans le temps et dans l’espace, emprisonnant le pays dans le noir sinon les ténèbres de la misère. Le Gouvernement étant l’outil principal de mise en œuvre des engagements du Chef de l’Etat retrousse les manches. La Région de l’Itasy a été choisie comme Région pilote pour le lancement de « Ankohonana Miarina ». Ce programme ambitieux vise à soutenir les familles vulnérables, en situation de précarité, en leur offrant des opportunités concrètes de manière à ce qu’elles deviennent autonomes au mieux indépendantes. Le choix de Fieferamanga et de Tsimahabeomby II, District d’Arivonimamo, Région Itasy pour donner le coup de pioche de ce Projet d’envergure n’est pas le fruit du hasard. Le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina, en personne descendu sur terrain,  met les points sur le « i » et la barre sur le « t » afin que l’on sache les intérêts stratégique dans le cadre du redressement national axé essentiellement sur le volet social. Justement, le Projet « Ankohonana Miarina » entre de plain-pied dans la mise en application des trois « Andry », les trois piliers, annoncés par le Président de la République lors de ses multiples interventions relatives au programme globale qu’il envisage de mener. Le discours de fin d’année 2023 revêt une importance toute particulière du fait que le Président profite de cette occasion pour bétonner la réalisation de ses promesses à travers les trois « Andry » à savoir le « volet social », l’ « essor de l’industrie » et la « bonne gouvernance ». Trois Piliers qui sous-tendent toutes les actions horizontales et transversales pour la relance de la Nation. Qui dit « relance » suppose le « redressement social, économique et politique » du pays.
Le Projet « Ankohonana Miarina » entend tenir à terme ses promesses. De grands chantiers vont démarrer à Fieferamanga et à Tsimahabeomby II. Le Chef de l’Etat propose de rebaptiser le nom de la localité Tsimahabeomby en Miarina sinon « Ambohimiarina » pour cristalliser pour les générations futures  la volonté présidentielle.
Un programme de formation sera dispensé au profit des familles bénéficiaires du Projet. Un encadrement inspiré de la technique Pfumvudza avec la collaboration des experts venus d’Amérique, du Zimbabwe et d’Afrique du Sud. Ils vont prêter main-forte à la réalisation du Projet « Ankohonana Miarina ». Pfumvdza, qui a déjà fait ses preuves au Zimbabwe, en Afrique du Sud, donnera certainement ses fruits à la Grande île. Il portera secours aux familles malheureusement déshéritées.
Le bout du tunnel ne sera plus loin !
Ndrianaivo

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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